Je fonde mes peintures par le blanc, pigment, charge et signifiant. Il donne de la matière à l’image.
Il permet de nourrir une structure interne, de suivre la spontanéité, d’agir la pensée, de relier le jour à l’intériorité.
Je me suis arrêtée sur ces planches suivantes, chaque fois que quelque chose fonctionnait de cet ordre là, pour l’observer.
Les voici :
Le blanc structure (Panier de « La femme au lapin » d’après Titien), le blanc air, le blanc nuance (Esquisse et visage d’après « Le concert champêtre » de Titien)